Tōkyō, jours 5 et 6. Le quartier d’Harajuku, et la rue Takeshita en particulier, font partie des choses folles à voir pour un occidental. Ici, la mode est très, très différente.

Harajuku, et Takeshita, sont réputés pour comme étant un point incontournable lorsqu’on parle de mode. Et de cosplay.

Commençons par la mode. On ne parle pas de grands couturiers comme nous l’entendons habituellement ou comme le Japon est capable de produire. Ici, nous baignons dans l’univers des adolescents et jeunes adultes s’échappant de la standardisation typiquement japonaise. Pour partir dans une originalité typiquement… Japonaise. Bienvenue dans un monde aux magasins proposant des produits des plus bariolés, aux rabatteurs bruyants, et aux tendances naissantes.

Pour les amateurs de calme, il y a bien des endroits plus paisibles lorsqu’on quitte Takeshita-dōri. Mais… Je ne suis pas venu à Harajuku pour ça !

Poursuivons par le cosplay. Pour ceux qui ne connaissent pas, nos amis québécois ont inventé le terme “costumade”. Il s’agit de ressembler à des personnages fictifs divers et variés. Dans notre cas, ils seront souvent eux aussi des plus bariolés. Quoique, de l’accessoire à la panoplie complète, il y a tout un tas d’accoutrements des plus rafraîchissants à voir ici, avec un jeu de mimétisme pour les membres d’un même groupe. Les guides conseillent de fréquenter Takeshita-dōri le dimanche pour en croiser un maximum de personnes sympathiquement habillées. J’ai trouvé qu’il y avait énormément de personnes sans originalité particulière ; une trop grande affluence de touristes peut-être ?

C’est à la fin de mon périple dans Harajuku que je découvre que la plupart des cosplayeurs ne rechignent pas à être pris en photo. Mieux, ils s’arrêtent, prennent la pose, et remercient après le cliché. Diantre, encore une raison pour retourner au Japon.


 

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