Taipei, jour 1. J’ai remis ça. Après le Japon, c’est Taïwan que j’ai choisi de visiter, fortement influencé par un ami autochtone et des billets pas chers. Alors, c’est comment au début ?
Commençons par un petit précis d’économie. Jusque la première moitié du XXe siècle, Taïwan a un poids insignifiant dans, soyons honnêtes, à peu près tout. Jusqu’au moment où, du jour au lendemain, la population triple en 1949. Une politique économique judicieuse, à base de construction massive et d’indépendance de ressources (d’abord alimentaires puis industrielles) transforme le vilain petit canard en un Phénix des hôtes de ces bois avec des couilles en platine. Aujourd’hui, le PIB par habitant est supérieur à la moyenne de l’Union Européenne ou du Japon, à titre d’exemple.
En conséquence, il y a plein de choses neuves. Le métro express qui relie l’aéroport quasi neuf de la capitale Taipei, distants d’une cinquantaine de kilomètres, en jette furieusement. Même nos RER neufs font pâle figure à côté. Autre conséquence, ce qui n’est pas neuf a quand même moins de 50 ans. Sauf qu’à l’époque, on a construit très vite là où on avait de la place, denrée rare sur l’île. Conséquence des conséquences, l’urbanisme est fantaisiste, et l’architecture désaccordée.
Les villes Taïwanaises, c’est ça : beaucoup de vie dans un joyeux mélange de genres. Ah, et on y bouffe bien aussi. Mais gras. Mais bien. Mes hôtes ont judicieusement choisi Ximending, un concentré de boutiques, de bars et restaurants, et de zones piétonnes pour mon premier contact. Touché !
Pays que je méconnais, je dois l’avouer… Tes photos donnent en tous cas l’envie d’y remédier ! Très chouette, j’attends la suite avec impatience !
Ce pays est bizarrement et injustement méconnu. Je crois que je l’aime beaucoup !
Ca me donne des envies d’aller visiter dis donc
Oh, ça s’organise :3
Ah ! Manque la patte du chat sur Taïwan… sur la carte.
Et les chaussettes seraient super pour faire des doudous !
Si je puis me permettre, ce 1er contact dure … longtemps !