Tōkyō, jour 3. L’après-midi débute par la visite rapide du quartier de Ningyōchō. Ses particularités ? Aucune justement. Un quartier assez résidentiel et sans grosse attraction, idéal à parcourir pour s’imprégner d’une ambiance « normale ». Ce qui n’est pas si courant à Tokyo.
Ainsi, l’après-midi du troisième jour se poursuit tranquillement. Oui, l’après-midi. Il a bien fallu se remettre d’une nuit débutée à une heure indécente, et je n’ai pu résister au double appel de l’estomac et des compères d’auberge pour un excellent restaurant traditionnel.
Ningyōchō, c’est littéralement la « ville des poupées ». Aujourd’hui, ne subsiste qu’un festival annuel. En octobre. Le quartier est aussi réputé pour son temple dédié aux enfants, le Suiten-gū. Actuellement fermé pour travaux et remplacé par un temple temporaire que je n’ai pas pris la peine d’aller voir.
Que reste-t-il ? Plein d’autres petites choses. À la sortie du métro, le temple bouddhiste Ōkannonji. Aux alentours, quelques rues étroites typiques. Un peu plus bas sur Ningyocho Dori, vers le sud, le restaurant à l’ours qui m’avait été conseillé. Mais fermé lui aussi, décidément ! Bifurquez à gauche, vous croiserez rapidement une promenade verte apaisante qui a la bonne idée d’avoir quelques cerisiers. Les fameux sakura. En fleurs. Enfin ! Plus loin, le Hamacho Park. Je vous laisse le découvrir lorsque vous visiterez le quartier. Perdez-vous, partez à la chasse à la pépite ! Je file, le programme du jour n’est pas terminé. Après des pauses, paisible dans un temple shinto, et désaltérante auprès d’un des innombrables distributeurs. Elle est pas choupie ma boisson ?