Kinkaku-ji. Encore un temple. Mais doré !
Kyōto, jour 7. Deuxième particularité de ce temple, il est aussi appelé Rokuon-ji. Ce n’est pas ce qu’il y a de plus intéressant, mais c’est bon pour le référencement !
Kyōto, jour 7. Deuxième particularité de ce temple, il est aussi appelé Rokuon-ji. Ce n’est pas ce qu’il y a de plus intéressant, mais c’est bon pour le référencement !
Kyōto, jour 7. Là, je me suis planté. Je me suis retrouvé à Fushimi-ku. Pourquoi ? Aucune idée. Google Maps m’a-t-il mal orienté ? Certainement. Je ne me perds jamais *toussote.* En bonus, quelques images fourre-tout.
Kyōto, jour 7. Arrivé pendant la nuit sous la pluie, après une nuit peu reposante dans une capsule étrange, le marché Nishiki voisin de l’hôtel apparaît comme la première étape kyotoïte idéale.
Tōkyō, jour 6. Après le parc sérieux, je poursuis mon chemin dans Harajuku au cœur d’un parc à l’atmosphère plus légère. Bienvenue à Yoyogi où, en parfait touriste, je me suis prêté au jeu du Hanami. Du quoi ?