Qui dit road trip, dit photos (floues) prises au volant ou lors de pauses ne méritant pas un article dédié. La Norvège fait l’objet du dernier article de la série. Et le plus beau à mes yeux !

La Norvège est le pays qui m’a laissé la plus grosse impression. Ses fjords, ses lacs, ses étendues jamais plates ou monotones, ses maisons colorées, son climat changeant… Partout, il y a de quoi en prendre plein les yeux. Avant de partir, je voulais avoir un chemin tout tracé. À quoi bon ? Sur place, je me suis rendu compte que, quelle que soit la direction prise, quelle que soit la route empruntée, il y avait des choses à voir. C’est beau, point.

Cette fois, pas de curiosité spécifique donc. Car je trouve que… Tout vaut le détour. Et tant pis si le climat n’est pas idéal pour les photos, ou si ces dernières sont floues. Je n’ai pas même modifié leur ordre. Et si on tenait ici mon article préféré ?

Conduire en Norvège

C’est un peu comme en Suède, le respect de conducteurs est franchement rafraîchissant. Tout comme le décor.

Cependant, les routes sont un peu moins belles. Le réseau secondaire voit son revêtement parfois rongé par le climat, et même le réseau principal peut être surprenant de par son état ou sa largeur. Prudence dans les tunnels qui voient leur bitume, moins souvent refait, parsemé d’ornières creusées par les camions, qui peuvent vous faire dériver. Parlant des camions, la géographie du pays (relief limitant le nombre de voies ferrées, habitations disséminées partout sur le territoire) fait qu’on en voit beaucoup. Si cela devient problématique dans les petits tunnels, où ils sont contraints de rouler au milieu pour ne pas racler la paroi, c’est finalement peu gênant sur la route. En effet, les limitations draconiennes ne permettent pas de rouler plus vite que les poids lourds, et ces derniers, toujours récents, disposent d’une puissance suffisante pour ne pas devenir des chicanes mobiles malgré le relief. Attention aux limitations de vitesse : les routes sont généralement limitées à 80 ou 70 km/h, et c’est lent. Quelques tronçons quasiment rectilignes voient leur limitation relevée à 90 km/h, mais c’est exceptionnel. Théoriquement, on ne va pas plus vite dans le pays, et les temps de parcours doivent être pensés en conséquence. Sache aussi que le pays est parsemé de radars automatiques, parfois tronçons, pas toujours signalés. Autre particularité impactant durée et budget : les bacs. Les péages sont souvent automatisés, sans nécessité de ralentir, et il est conseillé de prépayer sur autopass.no. Enfin, je ne détaille pas le risque de neige.

Il parait qu’Oslo est une plaie à circuler. Je n’ai pas eu de difficulté particulière ; moins qu’à Stockholm en tout cas. Mais si tu peux éviter de te rendre au centre en voiture, c’est tout de même plus confortable.

Cet article a 7 commentaires

    1. MCALP

      Grave. Je dois y retourner.

  1. d.mum

    J’espère que tu as encore du “fourre-tout” !!!

    1. MCALP

      Et bien… Non !

  2. Johannie

    C’est magnifique.. Je te jalouse monstrueusement ! J’espère voir autant de jolies choses l’été prochain ! :3

    1. MCALP

      Et bien, roule au hasard, et tu devrais en voir 🙂

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